Suzy croque encore !

Nahn et Migraine, nouvelles illustrées



Le livre d'artiste "Nahn et Migraine", deux nouvelles de Vincent Litt illustrées par Bernadette Kluyskens  vient d'être édité par la maison d'édition Le Coudrier. La mise en page est réalisée par Aurélie Commerce.
Ce livre est réalisé en impression offset  par l’Imprimerie Artisanale de Baulers en 300 exemplaires.

Vingt-cinq dessins en pastel sec accompagnent des personnages attachants dans l'intimité d'une amitié retrouvée et dans l'émotion de souvenirs poignants.

"Bord de doute' de Vincent Litt, couverture Bernadette Kluyskens


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De la jeunesse à l’âge adulte, puis à l’âge mûr, les personnages de ces nouvelles renaissent à leur identité trouble, perdue, oubliée.
Le hasard semble se mêler au flux du temps sur les corps. A y regarder de plus près, les personnages de ces nouvelles aux chutes lentes et surprenantes ne sont pas étrangers à leur destin. Mais là où les êtres se laissent emporter dans les replis du monde et de sa nature, la force de leurs destinées autorise peu de retours en arrière.
Alors, l’amitié et l’humanité les rattrapent et parfois les accompagnent.
Vincent Litt emmène son lecteur auprès de Nahn et Anselme dans les rues de Hanoi, aux côtés de Oum et André dans les cafés d’une ville étudiante, puis avec de jeunes agronomes qui flirtent avec les vagues d’une plage en Afrique. Un peintre, un musicien, un scientifique de renom nous emmènent au cœur des ambiguïtés de l’âme humaine.  Des médecins généralistes passent par des caves et des couloirs. Un jeune cambodgien vit une aventure inquiétante dans les forêts qui bordent la Thaïlande.
Projeté jusqu’au bout de la vague dans les ambivalences et les incertitudes de ces personnages, le lecteur s’altère les sens et n’en sort pas indemne !



Illustration de couverture par Bernadette Kluyskens
Edition Memory Press 2011



Point de vue atelier Bernadete kluyskens



Regarder, voir, identifier, créer des liens, organiser, projeter, faire et dire est le cheminement de notre travail d’images.
Que regarde-t-on à Uzès ?
Quelle est la place des jeunes ?
Comment dire en images « trop…. trop peu » ?
Sous quel point de vue ? 
De loin, de près, en mouvement, par réfraction ?
Dans son reflet, l’image de la ville-décor se renvoie à elle-même. Une véritable mise en abîme sans perspective.
Merci à Marina, Inès, Peggy, Mohamed B, Geoffrey, Emilie, Sélim, Laetitia, Gisèle, Mohamed M, Jonathan, Benoit, Sergio, Olivier, Anastasya, Fabio et Patrice qui à travers leurs photos, leurs points de vue, nous révèlent une ville d’Uzès contrastée. Bernadette Kluyskens